La police d’Istanbul, qui a entamé les interrogatoires de ces suspects, pourrait interpeler d’autres personnes liées à cette affaire, a précisé "Anatolie". Les accusés risquent une peine pouvant aller jusqu’à 15 ans de prison et une forte amende, selon les dispositions du code pénal turc, qui a été amendé en 2005 pour renforcer la lutte contre le trafic d’organes humains.