Concernant la polémique entourant le manque de "politesse" du nouvel ambassadeur de France à Tunis, Boris Boillon, Bertrand Delanoë a déclaré souhaiter "que la diplomatie française soit inspirée par les valeurs françaises de démocratie, des droits de l’Homme."
L’élu a par ailleurs rendu hommage à son ami Mohamed Charfi, un universitaire décédé en 2008, auteur de Mon combat pour les lumières, un ouvrage que Bertrand Delanoë avait préfacé. "Il fallait le faire vivre, lui qui avait été un opposant intelligent, efficace", a-t-il salué, expliquant qu’il avait rencontré la famille de Mohamed Charfi, avec beaucoup d’émotion.