
Les conclusions de ce rapport mentionnent notamment une perte de données due au givrage des sondes Pitot, une procédure inadaptée dans ce cas mais également une absence de réaction appropriée de l’équipage ou encore un manque de suivi des incidents depuis 2004, a précisé cette source.
Le crash d’un Airbus A330 de la compagnie française, qui s’était abîmé le 1er juin 2009 dans l’océan Atlantique au large du Brésil, avait coûté la vie aux 228 passagers et membres d’équipage.