"Quand j’entends le président de la République qui tape sur les syndicats à bras raccourcis pour faire de la démagogie populiste, pour donner le sentiment que (ce sont) les syndicats qui l’ont mis en difficulté, inévitablement, on voit bien que c’est un danger pour la démocratie sociale", a-t-il dit sur BFM Business.
M. Chérèque a redit que dans cette campagne électorale la CFDT "ne s’engage pas de façon partisane pour faire battre tel ou tel candidat".
"Le syndicalisme sera plus fort demain de rester dans cette démarche" car "quel que soit le candidat élu, de droite ou de gauche, de toute façon il va falloir porter la voix des salariés", a-t-il dit dans une critique de la position de la CGT qui appelle à faire battre Nicolas Sarkozy.
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