Saluant cette "bonne nouvelle pour l’usine, pour Renault" et "pour la France", Carlos Ghosn a insisté sur le fait que la décision de Nissan était "basée sur des purs critères économique". "L’autre option était de continuer à produire la Micra en Inde et à l’exporter en Europe. Il a fallu à tout prix battre cette hypothèse", a-t-il affirmé, ajoutant que la décision de Nissan avait "un sens économique".