"Il n’y a pas d’effet sur le ‘peps’ de la souris", a déclaré James Bradner, de l’institut du cancer Dana-Farber de Boston. L’animal présente les comportements sexuels et la fréquence de copulation habituels". Selon l’équipe, cette recherche est prometteuse parce qu’elle a une approche unique de la contraception masculine, qui consiste aujourd’hui essentiellement en des méthodes moins fiables tel le préservatif ou la vasectomie.
