"Si nous avions voulu nous rendre, nous l’aurions fait depuis le début", a-t-il déclaré lors d’une rencontre avec des parlementaires russes à Damas, dans des propos traduits en russe par l’agence Interfax. "Nous protégeons notre pays. Cette question n’est pas un sujet de discussions", a poursuivi le président syrien.
L’opposition syrienne en exil a décidé samedi, après de longues tergiversations, de se rendre en Suisse pour négocier avec le régime. Mais les objectifs des deux camps semblent inconciliables, l’opposition martelant que son seul objectif est de se débarrasser d’Assad.