"Nous avons eu confirmation que 41 de nos employés étaient sains et saufs mais le sort des dix Japonais restants et de sept autres étrangers reste à déterminer", a dit Takeshi Endo, un porte-parole de la compagnie JGC Corp qui employait 78 personnes sur le site.
Vingt-trois ressortissants étrangers et algériens ont péri durant les quatre jours de cette prise d’otages, alors que 32 assaillants ont été tués par les forces spéciales de l’armée qui ont mené un assaut contre le complexe, selon un bilan provisoire officiel algérien.
Les forces algériennes ont pu libérer "685 employés algériens et 107 étrangers" et ont abattu "32 terroristes", a indiqué un communiqué du ministère de l’Intérieur.
Le patron de la société japonaise JGC est parti pour l’Algérie samedi matin (heure du Japon) avec d’autres dirigeants de l’entreprise.
Dans la nuit de samedi à dimanche, le Premier ministre japonais Shinzo Abe avait déclaré avoir reçu des autorités algériennes "une information grave" sur la situation des otages japonais.