"La réforme, elle est faite pour qu’il y ait un meilleur service public, donc qu’il y ait des assurances qui peuvent être données aux cheminots c’est tout à fait légitime, elles ont été fournies", a-t-il déclaré, estimant que ce conflit social déclenché mardi soir risquait d’avoir des « conséquences dommageables » pour l’organisation des épreuves du baccalauréat..
"Maintenant, la réforme doit être présentée au Parlement et elle doit être votée et à un moment, et le moment est arrivé, un mouvement doit s’arrêter, ça ne veut pas dire que le dialogue ne puisse pas continuer", a-t-il ajouté.
Le secrétaire d’Etat aux Transports, Frédéric Cuvillier, a indiqué vendredi sur France Info que le mouvement de grève déclenché mardi soir pourrait durer jusqu’à lundi au moins compte tenu des positions de la CGT et de Sud-Rail, , alors qu’il s’était montré optimiste jeudi.