"Le projet de résolution est en grande partie une provocation qui torpille les efforts russo-américains", a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse, alors que l’Egypte, la Nouvelle-Zélande et l’Espagne ont proposé un texte demandant notamment une trêve d’au moins sept jours à Alep, la grande ville du nord de la Syrie.