L’interdiction est en vigueur depuis le 30 novembre, après que le pays a confirmé son premier cas de la variante Omicron du coronavirus, hautement transmissible.
« Les situations d’infection concernant Omicron sont clairement différentes dans le pays et à l’étranger, aussi le cadre (des contrôles frontaliers actuels) sera-t-il maintenu jusqu’à la fin du mois de février », a déclaré M. Kishida aux journalistes.
Le Japon a introduit les mesures initialement prévues pour environ un mois, en interdisant l’entrée aux étrangers non résidents et en demandant aux ressortissants japonais et aux résidents étrangers qui rentrent chez eux de rester en quarantaine dans des installations désignées par le gouvernement.
Le Japon a également interdit le retour des résidents étrangers dans le pays qui se sont rendus dans 11 pays, dont l’Afrique du Sud, dans les 14 jours, mais il va lever cette restriction pour des « considérations humanitaires ».