Il faut passer deux portes à codes pour y accéder depuis la rue. Mais selon les constatations de la Crim’, une fenêtre de l’appartement était ouverte sur la cours. «Un individu a-t-il pu accéder et s’enfuir depuis cette fenêtre du troisième étage ?», interroge un proche de la victime. La Brigade criminelle a pu constater que rien dans l’appartement n’indique une possible lutte sur les lieux du crime.
Les auditions de proches de la victime se poursuivent. Ce jeudi-là, Bernard Mazières s’était rendu au restaurant avec des amis, avant de rentrer prendre un verre chez lui avec certains d’entre eux. Son fils de 17 ans, parti en soirée, s’était inquiété que son père ne réponde pas à ses SMS.
(Source Le Figaro)