En 2006, la commission nationale consultative des droits de l’homme avançait la fourchette de 16 000 à 20 000 familles polygames en France. Avec des "conséquences dramatiques" pour les foyers concernés, accuse la députée dans son exposé des motifs: "multiplicité d’enfants dans de minuscules superficies, contraints d’attendre dans la rue leur tour pour le repas et privés d’éducation; des femmes meurtries; des allocations obtenues de manière frauduleuse…"