Le réseau mettra notamment en relation travailleurs sociaux, responsables religieux, animateurs de jeunesse, agents de police et chercheurs, qui sont engagés dans la lutte contre l’extrémisme dans l’UE, et qui travaillent sur le terrain auprès des "populations vulnérables".
L’objectif étant de favoriser l’échange d’information et d’expériences sur les différents aspects de la radicalisation et la façon de contrecarrer la menace de l’extrémisme violent, a expliqué la commissaire européenne.
Le réseau prendra également part au processus décisionnel au niveau national et européen, assistera la Commission européenne et les Etats membres dans leur travaux et leur fournira des instruments appropriés pour la prévention du terrorisme.
Plus de 20 millions d’euros seront alloués à ce projet sur 4 ans.
"Il est également important d’avoir à l’esprit que les idées politiques de certains mouvements populistes dans l’Union européenne constituent une source d’inspiration idéologique et des points de référence en faveur d’une radicalisation", a tenu à souligner Mme Malmstrom.