"Nous allons revoir l’ensemble du ‘process’ parce que nous devons nous adapter aux nouvelles technologies", a-t-il expliqué sans plus de détail. "On doit lutter contre la fraude, on doit être intransigeant, implacable", a-t-il dit. Le ministre s’est par ailleurs décrit comme "ouvert à la discussion pour voir comment le baccalauréat peut s’adapter, peut se moderniser".
Luc Chatel s’est toutefois montré réservé quant à un retour à des sujets choisis académie par académie: "Je suis très attaché au caractère national du baccalauréat. C’est un peu un rite initiatique". "Mon rôle c’est de défendre cette institution à laquelle les Français sont très attachés", a encore dit le ministre selon qui le baccalauréat "est sans doute l’examen qui incarne le mieux les valeurs de la République".