Rassemblés Place de Trocadéro avant de se diriger vers l’ambassade du Maroc, les manifestants, militants associatifs des droits de l’homme et membres du comité de suivi du 20 février, ont scandé de multiples revendications, notamment, pour un Etat de droit et le respect de la dignité humaine.
Les manifestants ont également dénoncé l’opportunisme et l’accaparation clanique du pouvoir et de la richesse et réclamé des médias publics libres et une justice sociale respectueuse de la dignité de la personne.