Invité sur Europe 1 mercredi, Jean-Pierre Chevènement a déclaré qu’il serait "candidat" à la prochaine présidentielle, "pour faire bouger les lignes". "Les socialistes auraient tort d’avoir peur, je veux leur bien", a ajouté le sénateur des Territoires de Belfort. Il souhaite s’inscrire contre "l’austérité à perpétuité", la "perspective d’Angela Merkel et de Nicolas Sarkozy" selon lui.