La Maison Blanche a affirmé vendredi que le régime islamique iranien redoutait "la volonté de son peuple", après les manifestations populaires sans précédent qui ont conduit le président égyptien Hosni Moubarak à démissionner. Le porte-parole de la présidence américaine, Robert Gibbs, a estimé que les dirigeants iraniens semblaient inquiets d’une contagion des événements d’Egypte dans leur propre pays, en soulignant que les autorités de Téhéran procédaient à des arrestations, coupaient l’accès à internet et bloquaient les médias internationaux depuis quelques jours.
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