Le souverain l’a chargé de mener de "réelles réformes politiques", après les manifestations de l’opposition au cours des dernières semaines. Les islamistes ont aussitôt critiqué cette nomination.
Le Front de l’action islamique (FAI), principal parti d’opposition en Jordanie, avait souligné lundi que, contrairement à l’Egypte, l’opposition n’appelle pas à un changement de régime dans le royaume, mais qu’elle demande des réformes politiques. Le FAI a critiqué mardi le choix de Maarouf Bakhit, estimant qu’il n’est "pas un réformateur".