"La direction (de Boko Haram) a décidé de libérer le prêtre par compassion", a affirmé cette source à l’AFP. "Le prêtre a offert ses services médicaux à des membres (du groupe) malades pendant sa période de captivité. La direction a ressenti qu’il n’y a avait plus besoin de le garder", a-t-elle ajouté.
Cette source a affirmé que Boko Haram avait demandé une rançon à la France, par l’intermédiaire du Cameroun, pour libérer le prêtre, arrivé en France mercredi matin.
Mais le gouvernement français a refusé et a demandé que le père Vandenbeusch soit libéré pour des motifs humanitaires, en raison de son statut de prêtre, a poursuivi cette source.