"Des discours xénophobes et europhobes gagnent les grandes formations politiques traditionnelles", selon le Grand Orient. "La montée des fascismes dans la première moitié du XXe siècle a emporté les idées généreuses des partis républicains et humanistes". "Des partis nationalistes fondent leur politique sur l’angoisse du présent de leurs contemporains, et sur l’incertitude de l’avenir. Ils se nourrissent de la peur. Ils suscitent la haine entre les hommes", relève l’obédience qui souhaiterait que les démocraties proposent "de nouvelles voies où le lien social, la solidarité, la dignité et les droits de l’Homme valorisent leur destin commun".