La Fondation pour la paix au Proche-Orient (FMEP) a expliqué qu’elle n’avait dans un premier temps pas bien vérifié le passé du grand mufti, plus haute autorité religieuse de l’islam en Syrie, et qu’elle l’avait invité cette semaine à Washington où se trouve son siège.
Le grand mufti de Syrie est considéré comme étant un proche du président Bachar al-Assad, dont le pays est confronté depuis 15 mois à des violences entre le régime et les forces d’opposition.
Cheikh Ahmad Badreddine Hassoun avait menacé en octobre dernier l’Europe, les Etats-Unis et Israël d’attentats suicide si la Syrie était attaquée.