
La visite du chef du gouvernement tunisien sera en effet, consacrée à l’examen de nombreux dossiers bilatéraux, régionaux et internationaux, notamment la consolidation de la coopération sécuritaire entre les deux pays, l’Union du Maghreb arabe, et la crise malienne. Les deux parties vont exprimer à cette occasion leur refus d’une intervention militaire au Mali, voulue par l’Occident.
Le ministre des Affaires étrangères algérien, Mourad Medelci, a estimé que les pays occidentaux qui incitent à une intervention militaire au Nord du Mali, cherchent derrière cela, des gains matériels. "Le Mali n’est pas un espace où les étrangers peuvent obtenir des acquis, les biens des Maliens, doivent revenir aux Maliens", a déclaré Medelci cité par le journal algérien elkhabar dans son édition du mardi.