"Si ce projet réaliste pour une résolution pacifique de la crise syrienne est bloqué, il est tout à fait probable que le pays sombre dans l’abîme d’un conflit armé", ajoute l’auteur. Kofi Annan avait lui-même constaté la veille l’échec des efforts déployés par les Nations unies pour faire respecter le cessez-le-feu censé être entré en vigueur le 12 avril dans le cadre de son plan et a dit craindre "un conflit généralisé".
