« Le dernier contact des Américains avec mon père a eu lieu quelques heures avant son assassinat. Ils tentaient de le rassurer que ses jours ne sont pas en danger à Syrte, et qu’ils font le nécessaire pour qu’il sorte de Libye sans être bombardé ou suivi », a affirmé Seif el-Islam, durant son interrogatoire.
Qualifiant les promesses des américains de mensonges, il les a accusés d’avoir eux-mêmes tué son père.
Dès le sixième jour de la chute de Benghazi, rappelle-t-il, les Américains lui ont suggéré de renverser son père, d’effectuer des réformes et de libérer l’industrie du pétrole.