Le président-candidat a par ailleurs relevé que la proposition de revenait à taxer à 83%, le taux de 75% s’ajoutant aux 8% de Contribution sociale généralisée. "A 83%, vous convenez parfaitement bien qu’il n’y a aucun intérêt à rester", a-t-il affirmé.
"Y a-t-il un seul pays dans le monde où il y a une taxation à 83% ? Nous avons déjà été les seuls sur les 35 heures, on l’a payé de centaines de milliers de chômeurs en plus et d’une baisse du pouvoir d’achat pour les ouvriers", a-t-il affirmé. "François Hollande veut moins de riches, moi je veux moins de pauvres", a également dit Nicolas Sarkozy, reprenant une formule du ministre de l’Education, Luc Chatel.
"Où est-ce qu’on va trouver des gens pour investir en France?", s’est interrogé le président-candidat. "Qu’est ce qui restera pour le Trésor français?", a-t-il également demandé. "Ce qui est frappant dans les propositions de François Hollande, c’est que tous les jours, on a un nouvel impôt !" s’est-il encore exclamé.