"Une fois qu’un nouveau gouvernement sera nommé, nous lui demanderons ses intentions, son mandat. Une fois que la situation politique sera clarifiée, nous évaluerons comment aider au mieux la Tunisie", a ajouté Wafa Amr.
Le mois dernier, le FMI indiquait que les discussions sur le déblocage de cet accord stand-by étaient arrivées à un "stade avancé".
Mais la crise politique qui a éclaté après l’assassinat de l’opposant Chokri Belaïd, le 6 février dernier, complique la situation. Après avoir proposé en vain la formation d’un gouvernement de technocrates, le Premier ministre Hamadi Jebali a annoncé mardi soir sa démission.