Intitulée « le Maroc, de la résilience à l’émergence ? », cette étude a été publiée sous la direction d’Emmanuel Gadret, Managing Partner à Deloitte Afrique Francophone et de Mehdi Serghini, Partner, Head of Infrastructure & Capital Projects à Deloitte Afrique Francophone et avec la participation de l’économiste Alexandre Kateb, indique Deloitte dans un communiqué.
« Après deux décennies de transformation (1999-2019) et d’avancées du Royaume en matière de modernisation économique, de réformes institutionnelles et de développement humain, de nombreux défis restent à relever. Le rapport s’intéresse notamment aux enjeux de résorption de la polarisation sociale et territoriale du pays, de valorisation des compétences et de soutien aux initiatives du secteur privé », souligne la même source. Après avoir détaillé les pistes de renforcement de la résilience économique à court et moyen terme, ledit rapport analyse l’armature de la nouvelle ambition réformatrice du Royaume. Elle repose sur un nouveau contrat social ambitieux porté par l’universalisation de la protection sociale, la digitalisation comme bouclier face à la crise et accélérateur de transformation et un choc de simplification et de modernisation de l’Etat.
Sous l’impulsion du triptyque solidarité-digitalisation-simplification, le Maroc se positionne aujourd’hui au croisement des échanges commerciaux afin d’être en mesure de bénéficier au mieux de la reprise économique et faire émerger une nouvelle « offre Maroc » gage de compétitivité dans la nouvelle donne mondiale post-covid, affirme la même source.
Face aux mutations de l’environnement régional et mondial et la reconfiguration des chaînes de valeur mondiale, ce policy paper expose les opportunités sectorielles à saisir, tout en s’inscrivant dans une démarche d’innovation et d’anticipation.