M. Duque, qui prend ses fonctions mardi, s’est engagé à modifier l’accord de paix, qui a permis le désarmement de 7.000 combattants de l’ex-guérilla Farc. Il s’oppose notamment à ce que d’anciens guérilleros accusés de crimes graves participent à la vie politique sans passer préalablement par la prison.
Au cours de leur entretien téléphonique dans la soirée de lundi, le président français "a réaffirmé notre souhait d’accompagner la mise en oeuvre de l’accord signé avec les Farc", a fait savoir la présidence française dans un communiqué.
M. Macron réitère un soutien à l’accord signé en 2016 et qui a mis fin à 50 ans de conflit, que son chef de la diplomatie, Jean-Yves Le Drian, avait exprimé lors d’une visite à Bogota le 27 juillet.