"On peut critiquer ou refuser l’ingérence; en revanche, il est difficile de refuser de protéger un peuple qui appelle à l’aide contre un régime ubuesque! Ou alors le discours sur la ‘communauté internationale’ est du vent", déclare-t-il dans cet entretien, recueilli avant le vote du Conseil de sécurité de l’Onu qui autorise des frappes en Libye.