"Nous allons rester là-bas même après l’accord d’Idleb, et le calme à Idleb", a martelé Hassan Nasrallah, évoquant lors d’une allocution télévisée l’initiative russo-turque concernant l’ultime grand bastion insurgé de Syrie.
Le chef du mouvement chiite libanais Hezbollah, allié du régime de Damas, a assuré mercredi que son organisation allait rester en Syrie "jusqu’à nouvel ordre", malgré le "calme" sur les lignes de fronts du pays ravagé par la guerre.