La Turquie soupçonnait une cargaison illicite, militaire ou liée au nucléaire, mais après plusieurs heures de fouilles, rien d’illégal n’a été retrouvé à bord et l’avion a décollé de nouveau à destination d’Alep en Syrie.
L’appareil iranien a été fouillé par des experts dans les cargaisons chimiques, biologiques, radioactives et nucléaires, selon Anatolie.
Les autorités turques ont autorisé l’avion à reprendre son voyage car "aucune situation hors de l’ordinaire n’a été constatée", a précisé un porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères cité par Anatolie. "Il s’agissait d’un contrôle de routine dans de telles circonstances", a souligné le responsable turc.