Cet audit, qui cible en priorité les centrales nucléaires, portera sur les risques d’inondation, de séisme, de perte des alimentations électriques et de perte du refroidissement ainsi que la gestion opérationnelle des situations accidentelles, a indiqué le chef du gouvernement français, François Fillon.
L’Autorité de sûreté nucléaire française (ASN), en charge de cette opération, est appelée à examiner "installation par installation, si des améliorations sont nécessaires à la lumière des enseignements qui seront tirés de l’accident de Fukushima", a précisé Fillon dans une lettre au président de l’ASN détaillant les objectifs de cette mission.
Les premières conclusions de l’étude sont attendues pour la fin de l’année en cours.