"Nous estimons que la relance effective et ordonnée de l’UMA est une nécessité. L’union doit être repensée et intégrer les changements intervenus dans la région et adapter, en conséquence, ses méthodes et outils de travail", a expliqué M. Messahel.
"Peut-on penser reprendre cette institution avec les bouleversements qu’a connus la région : Libye, Tunisie", s’est-il interrogé, affirmant, en outre, que la relance de cette entité régionale "doit naturellement répondre aux intérêts bien compris de toutes les parties et continuer de véhiculer en permanence l’ambition des peuples du Maghreb de réaliser l’union, voulue par les générations de la lutte de libération nationale".
"Actuellement, l’Algérie travaille avec ses partenaires de l’union à la préparation des conditions de réussite d’un sommet, au moment où les réunions ministérielles sectorielles et techniques se poursuivent", a-t-il ajouté.