"Nous lancerons cet appel d’offres en novembre", a-t-il dit lors d’une conférence de presse.
Il a précisé que 70 % des réserves de ces blocs étaient vraisemblablement constituées de gaz seul, le reste étant du gaz et du pétrole. Un des blocs est offshore.
"Nous pensons que les 12 blocs renferment au moins 29.000 milliards de pieds cubes de gaz (820 milliards de mètres cubes)", a-t-il dit.
L’Irak a attribué en octobre par voie d’enchères trois champs gaziers à des compagnies internationales. Le gouvernement irakien a également signé onze contrats avec des compagnies étrangères pour l’exploitation de ses immenses réserves pétrolières. L’Irak compte principalement sur sa production pétrolière pour relancer son économie.