Human Rights Watch, qui a publié un communiqué alarmant ce lundi, s’appuie sur des documents obtenus qui mentionnent le rétablissement de la lapidation en public, "à mort si les personnes adultères sont mariées." Si les personnes ne sont pas mariées, la sanction prévoit "100 coups de fouet." Une information confirmée par le quotidien britannique The Guardian et relayée par le Huffington Post.