Sa phrase a suscité l’émoi des juges. Selon la synthèse des écoutes téléphoniques visant Nicolas Sarkozy – et donc indirectement son avocat – Me Herzog a qualifié de "bâtards" les juges enquêtant sur l’affaire Bettencourt. Interrogé sur cette sortie sur Europe 1 jeudi matin, l’avocat de Nicolas Sarkozy a reconnu qu’il s’agissait "de conversations téléphoniques dans lesquelles j’ai pu me lâcher". "Il ne vous arrive jamais d’avoir des propos qui dépassent votre pensée ? ", a ajouté Me Herzog.