En Grèce le leader socialiste Evangélos Vénizélos a conditionné dimanche son soutien à un gouvernement de coalition pro-euro avec la droite à la participation de la gauche radicale et modérée. Le chef du Pasok, le parti arrivé en troisième position au scrutin de dimanche, a déclaré qu’un « gouvernement de responsabilité nationale suppose la participation de plusieurs forces de gauche », dont la gauche radicale du Syriza. De son côté le dirigeant conservateur Antonis Samaras, le chef du parti de droite Nouvelle Démocratie arrivé en première position devant le Syriza, a pour sa part appelé tous les partis pro-euro à rallier un gouvernement d’union.
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