"On peut se poser la question de savoir si l’arbitrage défavorable à Mme Bricq sur le permis pétrolier de Shell en Guyane n’a pas pu jouer en sa défaveur", a indiqué à l’AFP Benoît Hartmann, porte-parole de FNE.
Un peu plus tôt dans la journée, avant l’annonce du remaniement gouvernemental, un large collectif d’ONG environnementales (FNE, WWF, Greenpeace, Fondation Nicolas Hulot, etc.) avait estimé que Mme Bricq avait perdu "son premier arbitrage" après l’annonce de la reprise probable lundi des forages pétroliers exploratoires au large des côtes de Guyane.
La ministre avait pourtant annoncé le 13 juin une "remise à plat" de ce permis de recherche en raison du manque de garanties environnementales.