Arrivant à Meaux, la ville de Jean-François Copé, pour un déplacement sur le thème de la rénovation urbaine, le président-candidat a déclaré à la presse: "quand j’avais fait la proposition de taxer les exilés fiscaux", le "même François Hollande avait expliqué que ce n’était pas possible, que ça mettrait trente ans".
"Il est vrai que c’était avant-hier", a poursuivi Nicolas Sarkozy. "Je vois qu’en une journée, il a changé d’avis. Parfait. Et puis voilà qu’il demande la création d’un bouclier fiscal. C’était bien la peine de protester quand il y avait un !"