Deux réveils ont été cachés sous des palettes, avant d’être détruits à distance par un mécanisme de mise à feu. A chaque fois, les explosions ont été de faible ampleur et n’ont pas causé de dégâts ou fait de blessé. A Gand, un membre du personnel et un agent de sécurité ont fait état de maux aux oreilles après l’explosion. "Nous sommes en contact avec les autorités judiciaires à Eindhoven et Lille pour voir s’il y a un lien entre les trois affaires", a souligné la porte-parole du parquet de Gand. En Belgique, l’enquête a été confiée à la police fédérale.