"Dès l’annonce de ma candidature à la présidence, j’ai reçu sur mon téléphone portable et via mon entourage des menaces de mort et de vengeance de la part des Frères musulmans et d’autres mouvances islamistes", a-t-il dit dans un entretien publié lundi par le journal gouvernemental "Al Akhbar".
L’ancien homme de confiance de Moubarak a accusé les islamistes d’avoir perdu beaucoup de leur popularité en raison de leurs pratiques et leurs discours inacceptables.