La femme, âgée de 44 ans, "était brûlée au 3e degré sur 95 % du corps", indique une source médicale, notant que "le corps a besoin de la peau pour respirer et, avec ces brûlures, elle n’aurait pas pu survivre en raison des infections".
Présentée comme étant très fragile psychologiquement, l’enseignante avait annulé un cours qu’elle devait donner jeudi matin avant de s’asperger d’essence très calmement et d’y mettre le feu dans la cour peu avant la récréation, selon des témoins.
En dépit de l’intervention rapide des lycéens et des enseignants, puis des secours qui l’avaient transporté au CHU de Montpellier en hélicoptère, elle n’aura pas survécu à ses blessures.