Le festival de renom prévoit quelques 250 concerts en sept jours avec des personnalités et des groupes importants de la scène internationale tels que les Guns’N’Roses américains ou les Iron Maiden britanniques.
Avec plus de 700.000 billets vendus, le méga festival revient à Rio de Janeiro, la ville brésilienne où il est né en 1985, pour sa neuvième édition dans le pays sud-américain et la vingt et unième mondiale.
Du 2 au 11 septembre, la « Cidade Maravilhosa » (ville merveilleuse) accueillera des musiciens et des publics du monde entier. Les organisateurs ainsi que les autorités locales projettent quelque 158,48 millions de dollars de revenus pour l’événement, avec la génération de 7,924 milliards de dollars en Taxe sur les Services (ISS) pour l’économie de la commune.
Plus tôt cette année, Rock in Rio a été déclaré patrimoine culturel immatériel par la ville et l’État de Rio de Janeiro, renforçant ainsi sa pertinence pour le pays.
Pour le retour après la pandémie, les organisateurs ont appelé le premier jour « Jour de la Réunion » et le Parc Olympique, également connu sous le nom de « la Cité du Rock », a été agrandi à 350 000 mètres carrés, pour réduire les foules.
L’édition de cette année prévoit des marathons musicaux les 2, 3, 4, 8, 9, 10 et 11 septembre, les attractions phares de chacun de ces jours étant respectivement Iron Maiden, Post Malone, Justin Bieber, Guns N’ Roses, Green Day, Coldplay et Dua Lipa.
Le festival commence ce vendredi avec la nuit rock la plus longue, durant laquelle se produiront les groupes Sepultura, Gojira, Iron Maiden et Dream Theater, et se termine le dimanche de la semaine prochaine avec une journée plus pop avec Dua Lipa, Megan Thee Stallion, Rita Ora et la brésilienne Ivete Sangalo.