Aucune « action de force » pour libérer les otages-Elysée

La libération de la famille de sept personnes enlevée au Cameroun en février n’a donné lieu à aucune "action de force", et est le fruit de "contacts multiples" a-t-on appris vendredi à l’Elysée.

"Ce n’est pas une action de force, ça a été par des contacts multiples que nous avons pu établir", a-t-on déclaré dans l’entourage de François Hollande.

"La pression a joué", a-t-on ajouté, se refusant à toute information concernant les demandes de libération de prisonniers réclamés par les preneurs d’otages.

Les sept anciens captifs, en passe d’être rejoints à Yaoundé par le ministre des Affaires étrangères français, Laurent Fabius, devraient être de retour à Paris samedi matin.

Rien n’a encore été décidé quant à une éventuelle rencontre avec le président de la République.

François Hollande a appelé à la mi-journée son homologue camerounais, Paul Biya, pour le remercier de son aide dans ce dossier. Le président français a également salué l’action des autorités du Nigeria pour parvenir à la libération de la famille de sept personnes, dont quatre enfants, enlevés en février.

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