Ces victimes ont été recensées dans 22 pays, à 60% en Amérique latine, souligne l’ONG britannique, qui relève que ce bilan record est sans doute bien en-deçà de la réalité. 2016, avec au moins 200 morts, était déjà une année record.
Au moins 207 personnes ont été tuées dans le monde en 2017 pour s’être opposées à des projets miniers, forestiers ou encore agro-industriels, selon un rapport publié mardi par Global Witness.