Ces agents, au nombre de 3400, revendiquent l’amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles, à travers notamment une augmentation de salaire, le règlement des primes de risque, de port d’arme, de transport, de couffin, de rendement et d’ancienneté avec effet rétroactif à compter de 2008, ainsi que la réduction du temps de travail, indiquent des journaux locaux.
Leur salaire mensuel, qui ne dépasse pas les 14.000 dinars (environ 1.400 DH), n’a pas jamais connu d’augmentation depuis la création de cette catégorie en 1996, qui relève de l’Agence nationale des barrages et Transferts (ANBT), selon la presse.