Affaire des emails : Le FBI ne recommande pas au département de la Justice de poursuivre Hillary Clinton
S’exprimant lors d’une conférence de presse depuis le siège du FBI à Washington, M. Comey a précisé que sur 110 courriels, 52 contenaient des informations classées "secret" au moment de leur envoi.
"Nous n’avons pas trouvé des preuves claires qui prouvent que Clinton ou ses collègues ont eu l’intention de violer les lois, mais ils étaient extrêmement négligents", a-t-il souligné.
M. Comey a, par ailleurs, indiqué que la décision du FBI n’a pas été influencée par des considérations politiques.
La candidate démocrate à l’élection présidentielle américaine du 8 novembre a été entendue samedi matin par la police fédérale dans le cadre de l’enquête sur son utilisation d’une messagerie privée.
La campagne de l’ancienne Première dame des Etats-Unis pour les prochaines élections générales a été empoisonnée pendant des mois par cette affaire de serveur privé de courriels utilisé à des fins professionnelles lorsqu’elle a été à la tête de la diplomatie américaine.(