Le Point affirmait le 12 avril dernier dans ses colonnes que Nabila, allias Nabilla Benattia, avait fait de la prison en 2009 pour escroquerie. Un couac dans le CV de la nouvelle star de l’émission "Les Anges de la téléréalité" que l’intéressée démentait fermement, menaçant même de poursuivre l’hebdomadaire en justice. Le Point rapportait notamment qu’avant de devenir la star que l’on sait, la jeune suissesse avait ouvert plusieurs comptes bancaires sous une fausse identité, à l’aide d’un passeport volé. Un acte illégal qui lui aurait valu un mois de prison ferme dans l’établissement pour mineurs de La Clairière, à Genève, en 2009.
Malgré la colère de Nabila, le magazine VSD enfonce un peu plus le clou cette semaine, en produisant des documents, notamment des extraits de caméras de vidéosurveillance. VSD s’est même procuré un procès verbal. La procédure aurait été menée par un juge d’instruction du nom de Raphaël Martin. La combine aurait rapporté à la jeune femme, 17 ans, à l’époque, près de 200 000 francs suisses. D’après l’enquête du magazine, Nabila utilisait à l’époque le nom de "Chantal N", pour se présenter aux guichets des banques visées : la banque Raiffeisen, la Banque cantonale de Genève et La Poste plus connue dans nos contrées.
Le nom de Nabila s’est fait connaitre dans le France entière après son "Nan mais allo quoi ! T’es une fille et t’as pas de shampoing ?" devant les caméras de la téléréalité. Son objectif : devenir une playmate reconnue dans le monde entier.