Son cas avait été diagnostiqué le 12 novembre. Celui d’Oussa Koita, l’imam guinéen de 70 ans arrivé le mois dernier à Bamako, ne l’a en revanche jamais été, ce qui a accru les risques de contagion.
Le gouvernement a confirmé la mort du médecin qui était soigné dans un centre spécialisé. Selon Bamako, son décès porte à cinq morts le bilan de la maladie au Mali.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) faisait toutefois état de cinq décès avant jeudi, tandis que Médecins sans frontières (MSF) en dénombrait sept.